…suite de l’article précédent.
Le langage de la foi
Dans ce qui est rapporté dans les évangiles concernant la vie de Jésus, on peut observer que son langage face aux différentes circonstances qui sont les siennes est un langage de vie. C’est un langage de la confiance totale dans le Père céleste. Il s’agit aussi d’un langage qui croit que ce que l’on dit va se réaliser. Jésus n’aligne pas ses paroles sur les circonstances de ce monde. Mais ses paroles sont celles de la foi. Elles sont alignées sur les réalités célestes. Ce sont des paroles imprégnées de cette confiance dans le Père, dont l’amour est immuable, inaltérable, et dont la souveraineté est suprême, mais dont le règne est rendu visible et effectif dans ce monde uniquement par le moyen de la foi.
Par exemple, dans l’histoire de Jésus avec Lazare, il est intéressant de relever le langage de Jésus face à la situation. Alors que les deux sœurs de Lazare envoient quelqu’un pour lui annoncer que son ami est malade, au moment où il apprend cette nouvelle, la réponse de Jésus est la suivante: « Cette maladie n’aboutira pas à la mort, elle servira à glorifier Dieu; elle sera une occasion pour faire apparaître la gloire du Fils de Dieu« . – A noter: par l’expression « Fils de Dieu« , cela signifie fils né de Dieu, né d’Esprit, dans le sens créé conformément à l’image de Dieu, par son Esprit. Il s’agit de l’homme conduit par l’Esprit, qui est animé d’une manière de penser alignée sur celle de Dieu et dont la vie est donc le reflet de la nature de Dieu. Jésus n’utilise pas souvent l’expression « Fils de Dieu« , mais il utilise souvent l’expression « fils de l’homme« . Ce qui est lié à l’expression « fils de l’homme » fait appel a des réalités accessibles à tout homme. Ce qui est lié à l’expression « Fils de Dieu » est accessible par l’Esprit au moyen de la foi – Jésus n’aligne pas son langage sur les seules réalités de ce monde. Il perçoit les circonstances moins heureuses de ce monde (en réalité, il s’agit de l’œuvre de l’ennemi de Dieu) comme une occasion pour que la gloire de Dieu soit rendue visible à travers ceux qui sont nés d’Esprit. Jésus ne sous-entend pas que ces circonstances malheureuses soient voulues par Dieu, elles ne le sont pas. Jésus ne dit pas quelque chose du genre « Dieu a permis pour… ». Non, ces circonstances sont l’œuvre de l’ennemi de Dieu qui domine ce monde depuis la faute d’Adam. Cet ennemi domine le monde parce que les hommes ne placent pas leur confiance en Dieu et ne sont en général pas sous sa protection par le moyen de la foi. Les hommes qui ne sont pas sous le pouvoir de l’autorité de Dieu par le moyen de la foi, subissent l’œuvre du dominateur de ce monde à cause de leur ignorance au sujet de la vérité: Dieu est amour, l’amour ne commet pas le mal, et l’amour règne sur ceux qui s’attachent à l’amour. Dieu est lumière et là où la lumière se trouve les ténèbres ne règnent pas. Mais pour celui qui se tient éloigné de la lumière, ou qui ne marche pas dans la lumière, les ténèbres demeurent. Dieu est le Tout Puissant, mais il ne peut pas aller à l’encontre de sa propre nature qui est Amour. L’Amour ne s’impose pas à l’être aimé, il ne peut pas l’obliger à croire. Mais Jésus laisse comprendre que les circonstances malheureuses peuvent rendre visible le fait que c’est Dieu qui règne et qui est souverain. Mais cela n’est pas automatique. Car cette réalité n’est rendue visible que lorsque la foi est active. Dans la situation de Lazare, c’est la foi de Jésus qui a été mise en action pour changer les circonstances. Sans la foi de Jésus, Lazare serait resté dans son tombeau…
Lorsque les disciples demandent à Jésus si l’infirmité d’un aveugle de naissance est due à son péché ou à celui de ses parents, Jésus leur répond: « Cela n’a pas de rapport avec son péché, ni avec celui de ses parents; c’est pour qu’en lui tous puissent voir ce que Dieu est capable de faire« (cf. aussi Jean 9:1-3). Jésus est très clair sur le fait qu’il n’y a aucun lien entre le péché d’un individu ou de ses parents et son infirmité. Le fait est que ces choses sont l’œuvre du dominateur de ce monde. Jésus dit clairement ce que Dieu est capable de faire, c’est-à-dire ici guérir. Et Jésus va même démontrer avec cet aveugle que Dieu veut le faire. Mais Jésus laisse aussi comprendre par là, que ce n’est pas la volonté de Dieu qui est faite sur terre. Si cet homme était aveugle jusqu’à l’intervention de Jésus, intervention par le moyen de la foi, c’est que la volonté de Dieu ne peut pas être accomplie sur terre sans le moyen de la foi. La simple présence de Jésus sur terre n’a pas guéri par automatisme, ni fait partir les démons par automatisme. Sa présence n’a pas rétabli la volonté de Dieu sur toute la terre, mais ses interventions par le moyen de la foi ont démontré la volonté de Dieu pour l’homme. C’est par le moyen de la foi que Jésus lui-même a accompli toutes ses œuvres. Et c’est aussi par le moyen de la foi que certains, par leur foi, ont été guéri sans même que Jésus fasse ou dise quelque chose (ex: Luc 8). Celui qui ne se place pas sous le pouvoir de l’autorité de Dieu par le moyen de la foi, reste malheureusement sous le pouvoir de l’ennemi de Dieu. La cause de l’entrée du mal dans le monde visible fut qu’Adam n’a pas cru ce que Dieu lui avait dit. Les circonstances malheureuses n’ont jamais été et ne seront jamais l’intention de Dieu. Elles sont contraires à sa volonté, Christ l’a démontré. C’est parce que la mort est une injustice, que prendre soin de la veuve et de l’orphelin fait partie de la justice de Dieu (cf. Deutéronome 10:18). Dieu est lumière et il n’y a aucune trace de ténèbres en lui (cf. 1 Jean 1:5). Il ne commet pas le mal. Le mal appartient aux ténèbres. Mais c’est uniquement par le moyen de la foi que la volonté de Dieu est faite sur terre comme elle l’est dans les lieux célestes, qui sont invisibles à l’homme : « la foi, c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas » (Hébreux 11:1 SG21). En faisant les œuvres du Père, tout ce qui est l’expression de sa bonté, Jésus a clarifié ce qui est de Dieu et ce qui ne l’est pas. En parlant des bergers du peuple, Jésus a clairement dit: « Tous ceux qui sont venus avant moi étaient des voleurs et des brigands. Mais les brebis ne les ont pas écoutés » (Jean 10:8 BDS). Jésus a aussi clairement décrit que: « Le voleur vient seulement pour voler, pour tuer et pour détruire. Moi, je suis venu afin que les hommes aient la vie, une vie abondante » (Jean 10:10 BDS). Dieu n’est pas un voleur pour voler, pour tuer et détruire. Il est amour et il n’y a aucun mal dans l’amour, aucune trace de ténèbres en lui.
Ainsi, habité par cette confiance dans le Père qui est amour, Jésus agit en conséquence. Après avoir appris que Lazare était malade, Jésus resta encore deux jours à l’endroit où il se trouvait (cf. Jean 11:3-6 BDS). Jésus n’est pas animé par la crainte de ce que la maladie de Lazare pourrait avoir comme conséquence dans ce monde. Jésus est parfaitement établi dans l’amour du Père qui bannit toute crainte (cf. 1 Jean 4:18). Car Dieu est amour et c’est lui qui règne, lorsque nous sommes sous le pouvoir de son autorité par le moyen de la foi. Lorsque Jésus décide de retourner en Judée pour Lazare, ses disciples, eux, sont dans la crainte, parce que là-bas les gens en veulent à la vie de Jésus. Mais là encore, Jésus sait qu’il marche dans la lumière et qu’aucun obstacle ne peut le faire tomber. En d’autres termes, les ténèbres n’ont aucun pouvoir sur lui (cf. Jean 14:30-31). Son langage est donc aligné avec cette réalité de la foi (cf. Jean 11:7-10, 1 Jean 2:10). Pourtant, Jésus sait maintenant que Lazare est mort. Mais bien que les circonstances semblent alors démontrer le contraire de ce qu’il a dit (« cette maladie n’aboutira pas à la mort… »), les paroles de Jésus restent celles de la foi: « Notre ami Lazare s’est endormi; je vais aller le réveiller » (Jean 11:11 BDS). Toutefois, ses disciples ne comprennent pas ce langage, ils sont focalisés sur les seuls principes de ce monde et s’expriment en fonction: « Seigneur, s’il dort, il est en voie de guérison » (Jean 11:12 BDS). Alors Jésus clarifie la situation: « Lazare est mort, et je suis heureux, à cause de vous, de n’avoir pas été là-bas à ce moment-là. Car cela contribuera à votre foi. Mais maintenant, allons auprès de lui » (Jean 11:13-15 BDS). Mais là, Thomas aussi ne comprend pas le langage de la foi de Jésus. Il ne comprend pas que Jésus, en parlant d’aller « réveiller » Lazare, parle de le ramener à la vie. Alors en disant « allons auprès de lui« , Thomas s’imagine que Jésus a décidé d’aller mourir en Judée… Le langage de Thomas est un langage aligné sur les seules réalités des principes de ce monde. La manière de penser de Thomas le rend incapable de comprendre le langage de Jésus. Arrivé sur place, on observe le même contraste entre les paroles de Marthe, qui sont alignées sur les principes de ce monde, et les paroles de Jésus qui sont les paroles de la foi alignée sur les réalités du règne de Dieu. On voit que Marthe ne comprend pas ce que Jésus essaie de lui dire concernant les réalités du règne de Dieu dans ce monde présent (cf. Jean 11:20-28). Alors que Marthe fait le reproche suivant à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort« , Jésus garde le langage de la foi: « Ton frère reviendra à la vie« . Malgré qu’elle vienne juste de dire « Mais je sais que maintenant encore, tout ce que tu demanderas à Dieu, il te l’accordera« , Marthe le sait dans sa tête mais ne le croit pas dans son cœur et son langage en témoigne dans sa réponse à Jésus: « Je sais bien, répondit Marthe, qu’il reviendra à la vie au dernier jour, lors de la résurrection des morts« . Contrairement au langage qu’elle exprime, Marthe ne semble pas vraiment croire que Jésus va demander que Lazare revienne à la vie maintenant. Alors Jésus donne le sens qu’il veut qu’on saisisse au sujet du miracle qu’il est sur le point d’accomplir: « Je suis la résurrection et la vie, lui dit Jésus. Celui qui place toute sa confiance en moi vivra, même s’il meurt. Et tout homme qui vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?« . Jésus se préoccupe de ce que Marthe croit, et en particulier par rapport à la vie qui se trouve en lui pour le monde présent. Mais Marthe ne semble toujours pas comprendre précisément de quoi Jésus essaie de lui parler et elle répond de manière large: « Oui, Seigneur, lui répondit-elle, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui devait venir dans le monde » (Jean 11:27 BDS). Ce qu’on voit ensuite c’est que Marie, la sœur de Marthe, est habitée par la même manière de penser que sa sœur et tient le même langage : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort » (Jean 11:32 BDS). La tendance humaine face aux circonstances difficiles, par méconnaissance de la vérité, c’est d’attribuer à Dieu la responsabilité de ces circonstances, et de considérer ces circonstances comme la conséquence de sa volonté. La croyance est alors « Dieu a permis… ». Cette idée amène la croyance erronée que Dieu a voulu ces circonstances. Pourtant Jésus a démontré et laissé comprendre que la volonté du Père n’est actuellement pas faite sur terre comme elle l’est dans les lieux célestes (cf. Matthieu 6:10). Jésus a clairement dit qui est celui qui domine ce monde, ce n’est pas Dieu: « Désormais, je n’aurai plus guère l’occasion de m’entretenir avec vous, car le dominateur de ce monde vient. Ce n’est pas qu’il ait une prise sur moi » (Jean 14:30 BDS). Le dominateur de ce monde n’avait aucune prise sur Jésus parce que Jésus connaissait la vérité tout entière en ce qui concerne le Père et qu’il vivait par le moyen de la foi, sans le moindre doute au sujet des réalités possibles et accessibles par le moyen de la foi. Ainsi, il n’était pas possible de tromper Jésus avec un mensonge qui l’aurait placé sous le pouvoir du dominateur de ce monde, ni de le faire tomber dans l’incrédulité. Jésus a été clair: « En effet, personne ne peut m’ôter la vie: je la donne de mon propre gré. J’ai le pouvoir de la donner et de la reprendre. Tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père » (Jean 10:18 BDS). Jésus est venu démontrer que c’est uniquement par le moyen de la foi que le règne de Dieu est bien réel, et que c’est uniquement par le moyen de la foi que la volonté de Dieu est faite sur terre comme dans les lieux célestes. Lorsque Jésus demande d’ouvrir le tombeau où se trouve Lazare, Marthe, la sœur du mort, dit alors: « Seigneur, il doit déjà sentir. Cela fait quatre jours qu’il est là ». Marthe n’imagine même pas ce que Jésus veut faire, ces réalités là ne font pas partie de son système de pensée. Mais Jésus qui ne se laisse pas influencer par les réalités visibles lui répondit: « Ne t’ai-je pas dit: Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu? » (Jean 11: 39-40 BDS). Et avec cette parfaite confiance dans le Père, Jésus enchaine en disant: « Père, tu as exaucé ma prière et je t’en remercie. Pour moi, je sais que tu m’exauces toujours, mais si je parle ainsi, c’est pour que tous ceux qui m’entourent croient que c’est toi qui m’as envoyé. Cela dit, il cria d’une voix forte: Lazare, sors de là! » (Jean 11: 41-43 BDS).
Les paroles de Christ étaient efficaces parce qu’il croyait sans douter ce qu’il disait: La parole de Dieu est efficace en celui qui croit cette parole. Paul a aussi fait ce constat de l’efficacité d’une parole alignée sur la parole de Dieu: « Et voici pourquoi nous remercions Dieu sans nous lasser: en recevant la Parole que nous vous avons annoncée, vous ne l’avez pas accueillie comme une parole purement humaine, mais comme ce qu’elle est réellement, c’est-à-dire la Parole de Dieu, qui agit avec efficacité en vous qui croyez » (1 Thessaloniciens 2:13 BDS). Mais une parole qui n’est pas celle de Dieu est inefficace en celui qui la croit. Aujourd’hui, de nombreuses paroles sont annoncées et qui ne sont pas celles que Jésus a annoncées… Jésus a dit clairement: « Si vous priez avec foi, tout ce que vous demanderez, vous l’obtiendrez » (Matthieu 21:22 BDS), « oui, vraiment, je vous l’assure: tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous l’accordera » (Jean 16:23 BDS). Lorsque la foi est présente, le langage devient celui de la foi et cette parole est efficace en celui qui croit. Pour autant que cette parole soit conforme à la vérité qui est en Christ, c’est Lui la Parole de Dieu.
La foi permet le rétablissement de la justice de Dieu, dans ce monde dominé par son ennemi. Et cette foi s’exprime: « Mais voici comment parle la justice (droiture) qui vient de la foi: «Ne dis pas dans ton cœur: ‘Qui montera au ciel?’ ce serait en faire descendre Christ; ou: ‘Qui descendra dans l’abîme?’ ce serait faire remonter Christ de chez les morts.» Que dit-elle donc? La parole est tout près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Or cette parole est celle de la foi, que nous prêchons. Si tu reconnais publiquement de ta bouche que Jésus est le Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité, tu seras sauvé. En effet, c’est avec le cœur que l’on croit et parvient à la justice, et c’est avec la bouche que l’on affirme une conviction et parvient au salut, comme le dit l’Écriture: Celui qui croit en lui ne sera pas couvert de honte » (Romains 10:6-11 SG21). La justice (justice, justification et droiture) qui vient de la foi ne doute pas, mais elle s’exprime avec confiance. C’est croire dans le cœur qui permet de parvenir à la droiture pour mener une vie juste est sainte par le don de la justification. Et c’est par ce qu’on affirme avec conviction que le salut est produit, c’est-à-dire la délivrance, la libération, la restauration, la guérison, le rétablissement, la bénédiction. C’est un choix qui nous appartient de croire dans notre cœur et de proclamer de notre bouche. Mais c’est seulement avec une compréhension correcte de qui est Dieu, Amour, que la pleine confiance en Lui se produit.
« Je prends aujourd’hui le ciel et la terre à témoins: je vous offre le choix entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisissez donc la vie, afin que vous viviez, vous et vos descendants » (Deutéronome 30:19 BDS). Sans l’intervention de l’Éternel, depuis la faute d’Adam il n’y avait aucun autre choix que la mort, à cause de l’ignorance de la vérité. C’est l’Éternel qui a amené le choix possible de la vie que Dieu promet à celui qui croit la vérité que Christ a enseignée et démontrée. Ce qui tue la vie est entré dans le monde en ne faisant pas confiance à Dieu à cause du visible. Et c’est de la même manière que cela perdure aujourd’hui. Dieu a clarifié la vérité en venant en Jésus-Christ, afin que tous ceux qui croient en ce que Christ a dit et démontré ne périssent pas, mais qu’ils aient la vie, une abondance de vie, une vie qui ne cessera jamais.
« Chacun goûtera à satiété les fruits de ses paroles et se rassasiera de ce que ses lèvres ont produit. La mort et la vie sont au pouvoir de la langue: vous aurez à vous rassasier des fruits que votre langue aura produits » (Proverbe 18:20-21 BDS).
Jésus a été clair sur l’importance de nos paroles: « Or, je vous le déclare, au jour du jugement les hommes rendront compte de toute parole sans fondement (qui a aussi le sens de « sans efficacité ») qu’ils auront prononcée. En effet, c’est en fonction de tes propres paroles que tu seras déclaré juste, ou que tu seras condamné » (Matthieu 12:36-37 BDS). Jésus parle clairement du poids de nos paroles et que cela est entre nos mains. Il en sera de même au jour où toutes choses seront mises en lumière. Il n’associe pas le Père à la condamnation qui vient de nos propres paroles. La condamnation ne vient pas de Dieu, Jésus l’a démontré par sa vie entière. Nos paroles ont le pouvoir d’amener soit la condamnation soit la justice de Dieu, c’est-à-dire la délivrance de la damnation collective.
Très sincèrement, j’ai été beaucoup édifiée ce exposé bible. Que Dieu vous bénisse encore davantage.
Merci beaucoup pour ce retour encourageant! Que la grâce et la paix vous soient multipliées!